Tu penses que la paix est revenue, que cette ville est paisible. Mensonges. Beacon Hills restera le berceau du surnaturel et le danger approche à grand pas, fuis !
 
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 AYMERICK. ϟ « You shot me down, bang bang. »

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Aymerick P-A. Louis
Aymerick P-A. Louis
I don't care of your shit
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vraiment ?
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MessageSujet: AYMERICK. ϟ « You shot me down, bang bang. »   AYMERICK. ϟ « You shot me down, bang bang. » I_icon_minitimeVen 25 Avr - 11:56


Aymerick Perceval-Aniel Louis

AGE ◮ Vingt quatre ans. ; DATE DE NAISSANCE ◮ Quatorze août. ; LIEU DE NAISSANCE ◮ Phoenix. ; NATIONALITÉ ◮ Américaine. ; STATUT CIVIL ◮ Célibataire. ; ORIENTATION SEXUELLE ◮ Next. ; GROUPE ◮ Run after the moon. ; AVATAR ◮ Jamie Dornan. ; CRÉDITS ◮ Tumblr.


This is my part


Loyal, charismatique, sexy, intelligent, malin. C'est tout ce que t'as à savoir. Non, c'est une boutade. Généralement quand on parle d'Aymerick, on le décrit comme une personne qui a un goût très prononcé pour la vie. Il la croque à pleines dents et en profite comme si chaque jour était le dernier. Très amusette, le jeune homme s'amuse d'un rien et adore faire rire la galerie, il déteste que les gens aillent mal et fait tout ce qui est en son pouvoir pour qu'ils retrouvent le sourire. Pourtant malgré tout cela, au fond de lui, il garde une blessure ouverte qui ne se refermera probablement jamais. Il a tué son alpha, certes ce dernier était le plus gros des salopards que la Terre ait pu porter, mais quand même, c'est lui qui lui a offert une seconde vie et il l'a tué de sang froid, le pire dans tout cela, c'est qu'il ne regrette même pas. Puis quand sa soeur jumelle est morte, une terrible dépression s'est abattue sur lui, déchiré psychologiquement, il n'a plus jamais été le même. Depuis ces événements, Aymerick est devenu plus réservé bien que terriblement admiré et craint de tous, le lycanthrope n'en a pourtant pas changé ses habitudes et reste plus ou moins le même.

Son leadership n'est contesté de quasiment personne, quand il donne un ordre on l'exécute et c'est tout, d'autant plus qu'il sait charmer et user de son physique pour se mettre les gens dans la poche. De plus l'alpha qu'il est devenu n'hésite pas à faire passer le bonheur de sa meute avant le sien et la protégera quoi qu'il arrive, qu'il faille tuer ou manipuler, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour les siens. Un homme au cœur d'or qui cependant cache bien des facettes noires lorsqu'on lui cherche des noises, là, il se transformerait en monstre sanguinaire capable du meilleur comme du pire et c'est généralement dans le pire qu'il est le meilleur. Mais avoir perdu sa sœur jumelle l'a plongé dans une folie étrange, il parle souvent tout seul, voit sa jumelle alors qu'elle n'est plus de ce monde, c'est comme s'il devenait schizophrène alors que ce n'est pas ça, il voit des choses étranges qu'il est le seul à percevoir.



This is my life


INCIPIT › Les mots ne servent à rien pour décrire la naissance d’un être sur cette planète. On naît quasiment tous de la même façon. Douleurs et hurlements de notre génitrice pendant qu’elle nous met au monde. Le sang éblouit notre existence dès nos premiers instants. Comment pouvons-nous venir à la vie de cette manière-là ? Pourquoi est-ce aussi immonde alors que cela est censé être le plus beau jour de la vie d’une femme. Croyez-vous qu’en réalité tout est beau ? Qu’un bébé naît dans un chou ? Ou alors qu’il est apporté par une cigogne dans des draps blancs ? Détrompez-vous, dès vos premiers instants vous voyez l’horreur, vous la palpez, vous en êtes la cause que vous le vouliez ou non. Ceci n’est pas une histoire sur la beauté ou l’infamie de la vie, mais ce n’est pas non plus une petite fable sur l’existence d’un garçon comme les autres, car non, je ne suis pas un garçon comme les autres, loin de là d’ailleurs. L'enfance d'un individu n'est pas forcément importante, il ne s'y passe rien d’extraordinaire, de glorieux comme l'on pourrait dire. Alors on va la passer, on y fait abstraction, tout ce que l'on peut retenir, c'est qu'Aymerick est né un douze juin, en même temps que sa sœur dans une bourgade nommée Twin Cover, assez comique vu qu'ils sont jumeaux. La relation entre Francesco et ses parents a toujours été complexe, en réalité ils ne s'occupaient pas vraiment les uns des autres, ils préféraient vivre leur vie comme ils le désiraient et restaient chacun dans leur coin. Attention, cela ne veut pas dire qu'ils ne s'appréciaient pas, loin de là, quand le petit faisait des bêtises ils étaient les premiers à venir l'enguirlander. Pourtant ce n'était pas la même chanson avec sa sœur, non loin de là, très fusionnels, ils adoraient passer du temps ensemble que ce soit à la maison ou à l'école.

CHAPTER I › Mon enfance s'est déroulée normalement, sans problèmes notables à part le fait que j'étais un garçon plutôt solitaire, qui ne préférait pas se mêler aux aux autres enfants, un peu une sorte d'ermite qui vivrait au plus profond d'une montagne isolée. Les autres gamins n'ont jamais compris pourquoi je ne venais pas avec eux, mais moi je le savais, parce que je n'aimais pas la présence des autres, surtout s'ils savaient qu'à six ans j'avais déjà embrassé des garçons sur la bouche. Je sais ce n'est pas courant et à cet âge là on ne peut pas savoir réellement ce que l'on est ou non, mais moi je me suis toujours demandé pourquoi deux garçons ne peuvent-ils pas être amoureux, du genre vraiment, comme le sont un garçon et une fille, c'est pareil non ? Les années sont passées, laissant derrière moi mes petits tracas d'enfant replié sur lui même. Lorsque j'entrais en classe supérieure, c'est à dire chez les grands, j'avais douze ans, un âge plutôt important, l'âge de raison, celui où l'on commence à décider de ce que l'on veut. Ma petite lubie à embrasser des hommes n'a jamais faiblis, bien au contraire. Cependant il y a certaines choses qu'il vaut mieux que je vous raconte précisément, cela sera plus compréhensible. ❝Les pieds traînant dans la cour de l'école, la tête rentrée dans les épaules, mon sac bandoulière rouge à l'épaule, j'avance sans vraiment regarder où je vais, sans vraiment savoir ce que je fais, j'ai l'habitude de m'isoler ainsi, cela me permet de réfléchir sérieusement à quelques trucs sans importance, hier encore il m'est apparu comme une évidence, comme une obligation. Tout mon être s'est contracté à sa simple vue, j'ai eu l'impression de sentir mon cœur faire une syncope, mon bas-ventre ressentait tout un tas de choses, des petits papillons, mon sous-vêtement qui devient d'un coup trop étroit, mes joues qui s'habillent d'une couleur cramoisie, mes doigts se mettent à trembler et mes yeux à loucher. Mon dieu que c'est embarrassant, voilà pourquoi je me suis isolé, pour que cela passe, que je reprenne contenance et que j'arrête de faire une fixette sur ce garçon. En prime les autres commencent à se douter de certaines choses, par exemple du fait que malgré mes quinze ans, je n'ai jamais eu de copine, je prétexte à chaque fois que c'est parce que je trouve pas celle qu'il me faut. Peut-être devrais-je dire la vérité, mais je n'ose pas, peur de me faire pointer du doigt après. La psychologue de l'établissement a bien remarqué ce qu'il n'allait pas, c'est d'ailleurs la seule personne au monde (même ma sœur ne le sait pas) qui soit au courant du fait que je sois homosexuel. J'ai toujours l'impression qu'elle va aller le dire à mes parents ou pire aux autres élèves, je ne souhaite pas devenir la risée de tout le monde, c'est une certitude.

CHAPTER II › Je savais que venir dans cette forêt n'était pas une bonne idée, mais mes amis m'ont assuré que faire un cache cache en étant bourrés et totalement dans le noir était super. Alors que je suis à moitié  saoul, je marche – ou plutôt tente de marcher – dans cette forêt, seul comme une âme damné que je suis. Vêtu simplement d'un jean délavé et troué et d'un t-shirt blanc avec une veste en cuir chaude par dessus, j'avance sans but précis. Je ne joue même plus, d'ailleurs je n'entends plus aucun bruit, mes amis ont du partir et ils l'ont fait sans me chercher, les enfoirés ! J'essaye juste de réfléchir un bon coup à ma vie qui n'a strictement aucun sens. Ouais, déjà premièrement au lycée même si j'attire toutes les filles j'en ai strictement rien à battre. Moi je veux un homme viril, avec du poil et des muscles. En plus y a personne qu'est au courant, alors de ce fait je me suis crée moi même une réputation de coureur de jupons qui est totalement fausse. Un long frisson s'empare de moi, les feuilles s'agitent et mon cœur s'emballe. Pourtant pas assez pour m'arrêter dans ma marche, je continue toujours. Après mon homosexualité, mes résultats scolaires commencent à chuter, ouais mais c'est pas ma faute, je m'ennuie au lycée, le pire c'est que la seule chose qui m'intéresse c'est les plantes. Je vous vois venir tout de suite, je ne fume pas, enfin ça m'arrive parfois mais c'est rare, je fume seulement du tabac. J'enfouis rageusement mes mains dans mes poches et continue de me mouvoir entre les arbres. Se promener en pleine nuit dans une forêt n'est pas banal, mais pour s'isoler c'est tout ce que j'ai trouvé pour le moment, je me trouve loin de la route désormais et tant mieux, je veux m'éloigner de l'ambiance régnante de la ville. En revanche ce petit vent désagréable me hérisse les poils des avants bras. Je n'aime pas ça, pourtant je ne repartirais pas, je veux marcher et oublier tous mes problèmes.

Les choses devraient être faciles, elles le sont pour les autres. Alors pourquoi pour moi ce n'est pas le cas ? Je ne sais pas ce que j'ai fais pour mériter ce sort, mais en tout cas c'est injuste. De toute façon la vie est injuste, c'est vrai quoi, regardez tout ce qui arrive autour de vous, des proches meurent, des extrémistes font des attentats au nom de secte complètement délurées, les gens sont cons et adorent faire du mal aux autres. La vie c'est la jungle, et les hommes en sont les animaux. Des bêtes dénuées de cerveaux qui réfléchissent pour leur propre intérêt avant celui du bien de ceux qui les entoure. Je le comprends parfaitement d'ailleurs, étant pareil que tout le monde, pourquoi aurais-je des mœurs différentes ? Non je constate juste la triste réalité.

Un bruit inquiétant parvient à mes oreilles. Comme si quelqu'un mangeait pas très loin. Je m'arrête soudainement et regarde de tous les côtés, je ne vois rien. A vrai dire c'est un peu normal, en pleine nuit dans un bois avec des arbres énormes c'est sûr que voir c'est pas une tasse de café. Un grognement glauque vient aussi après le bruit de succion. Une sueur froide m'envahit, je commence à avoir légèrement peur. Comment ne pas avoir peur ? Je continue d'avancer, c'est sûr je veux sortir du bois, c'est une priorité. Je ne veux pas rester dans cet endroit de malheur. Les bruits ne me suivent plus, enfin je l'espère. Je ne me presse pas, si c'est une bête ça ne fera que l'énerver donc restons calmes même si ce n'est pas facile du tout. J'avance doucement mais prudemment. J'ai toutefois l'impression d'être suivis, comme si quelqu'un m'épiait dans mon dos. Un sursaut me prend lorsque j'entends une branche craquer juste dans mon dos. Je me retourne prêt à tout. Mais rien. Rien du tout. « Putain c'est flippant là... » dis-je à moi-même. Je me remets en route en me mettant à courir dans le sens opposé. Une seule course qui pourrait soit faire continuer ma vie soit en marquer la fin. Je n'ai pas le choix, je dois avancer et continuer toujours plus vite. La seule chose qui pourrait me sauver c'est qu'il ne me suive pas. C'est hélas peine perdue. Je sens le sol trembler derrière moi. Puis plus rien. Un cri assourdissant retentit de tous les côtés. Un cri. Quel crétin autre que moi aurait eu l'idée de venir ici en pleine nuit ? Mais quand on hurle une seconde fois, je remarque que ce n'est pas humain... Un grognement juste dans mon dos. Je me retourne et la créature me saute dessus. Ma tête cogne contre le sol, signant mon arrêt de mort. Avant de m'évanouir, je ressens une énorme douleur au biceps. Le loup vient de me le percer. Le noir envahit ma tête et mes paupières se ferment. Un dernier hurlement, humain, le mien. A l'orée de la forêt où des voitures passent.

On peut dire que j'ai eu énormément de chance. Quelqu'un a entendu mon cri et la bête s'est enfuie, me laissant à moitié mort dans la forêt. A moitié. Le monsieur a appelé une ambulance et j'ai été évacué aux urgences. Cependant, ma blessure a déjà disparut. Les médecins ne comprennent pas, moi non plus d'ailleurs. Pourtant je dois rester alité, la blessure a disparut en surface, mais à l'intérieur je suis toujours faible. Je grimace doucement en sentant une aiguille entrer dans une veine. On me refait une injection, pour éviter des infections cette fois-ci c'est la rage. Le loup était effrayant, des crocs disproportionné, des griffes à faire peur aux plus endurcis. Puis finalement ma famille arrive, tous paniqués.

CHAPTER III › Une vie de lycanthrope ce n'est pas facile tous les jours croyez le ou non, dans les débuts, se contrôler demande énormément de concentration, il n'était pas rare que mes yeux deviennent jaunes rapidement et que mes caractéristiques de loups apparaissent alors que j'étais en plein contrôle d'histoire géographie. Mis à part ça, je suis resté le même, disons qu'au lycée j'attire les filles, mais là c'est limite ingérable. Et encore le pire c'est ce côté populaire que j'ai acquis, je ne suis pas la star du bahut, mais c'est du pareil au même, les gens me regardent différemment, comme s'ils me craignaient... Papa et maman n'y ont vu que du feu, mais pas ma sœur, elle a rapidement compris que quelque chose d'anormal s'était passé cette nuit où je me suis retrouvé à l'hôpital, alors elle a décidé de m'espionner. L'alpha qui m'a mordu m'a rapidement contacté d'ailleurs, il m'a fait part de son envie d'agrandir sa meute avec un petit nouveau. Non seulement en lui je voyais un modèle, mais il m'a intégré si facilement que j'ai immédiatement était sous sa coupe pour tout et n'importe quoi, un vrai toutou, sans mauvais jeu de mot. Il m'a apprit à me gérer, à devenir plus fort et à me servir des nouvelles capacités que j'avais, il m'a montré comment m'en servir et surtout comment les utiliser de façon malhonnête. Je ne voyais pourtant rien, et les choses ne m'ont pas aidé par la suite. J'ai réussis à cacher ça aux yeux de tout le monde pendant quatre mois, et c'est ma sœur qui m'a découvert sous ma forme de bêta, sur le coup j'ai faillis la pulvériser même si nous ne nous sommes jamais – ou presque – disputés. Elle m'a cassé les pieds pendant deux mois entiers pour qu'elle se fasse mordre elle aussi, à bout de nerf j'ai demandé à mon alpha de la transformer. Il ne voulait pas, mais elle nous faisait vivre un tel enfer qu'au final il l'a fait et lorsqu'elle s'est transformée, elle n'était pas une bêta comme moi, mais une oméga, le déchet, j'ai rapidement vu clair dans son jeu, mais pas assez puissant, j'ai attendu de m'endurcir pendant deux ans entier où j'ai soutenu ma sœur nuits et jours pour qu'elle devienne meilleure elle aussi, mais malheureusement ce n'était jamais assez.

Deux ans sont passés, rien de nouveau ou presque, nous n'étions plus que deux dans la meute, l'alpha, et moi. Pourquoi plus que ça ? La réponse est simple, tous les autres sont soit morts à cause des chasseurs ou de notre alpha, soit ils se sont enfuis et nous n'avons plus jamais entendu parler d'eux. Les Louis ont été assez fous pour rester et pour se battre contre lui. Je ne pouvais pas le laisser en vie et le laisser maltraiter les futurs bêtas de sa meute, ils ne méritaient pas ça. Personne ne mérite cela, alors vint le fameux affrontement, il fut terrible et plusieurs fois j'ai cru que mes jours allaient cruellement se terminer. J'étais quasiment mortellement blessé, mais dans un accès de rage quand il a voulu s'en prendre à des humains,je l'ai attrapé et l'ai embroché tellement fort sur un piquet de jardin que ses organes vitaux ont été perforés. L'hésitation n'a pas eu lieu, j'ai plongé ma main dans son torse et je lui ai arraché le cœur d'un coup sec. Encore heureux nous étions en pleine nuit, ainsi personne n'a rien vu. C'est comme ça que mes yeux sont passés du jaune des bêtas au bleu des loups qui ont tué un être humain puis au rouge de l'alpha. Les débuts ont été durs, je dois l'admettre, cette nouvelle force était totalement nouvelle et j'ai du me débrouiller tout seul, enfin, non j'avais ma sœur, sœur qui est devenue l'une de mes bêtas. Pourquoi ? Oh c'est simple, elle veut prendre ma place, alors elle attend son heure. Elle est idiote mais ce n'est rien, elle ne m'aura pas, mais quand je la vois, je ne peux que me dire qu'elle utilise des moyens peu recommandables et malgré tout, c'est ma jumelle, alors je la protège.

J'avais dix-huit ans quand tout cela s'est déroulé, je venais quasiment de les avoir d'ailleurs, et c'est quand j'ai pris conscience de l'ampleur de mes pouvoirs que j'ai enfin décidé de tout avouer à ma famille, enfin, tout, il ne faut pas abuser non plus, personne ne sait que Jenifael et moi sommes liés au monde surnaturel, ils ne veulent pas entendre parler de ça, ils pensent que ce ne sont que des fariboles et des contes pour faire peur aux enfants. Non, j'ai dis que j'étais homosexuel, ils ne l'ont pas mal pris comme je le croyais, non, mes parents le savaient, mais ma sœur a vu là l'occasion de se moquer de moi et elle n'hésite pas à se moquer en lançant des blagues sur les gays, je ne dis rien, mais au fond ça me blesse. Il y a eu également ce tatouage que je me suis fais tatoué sur toute la jambe droite, un symbole qui signifie à la fois le paradis et l'enfer, un peu comme moi somme toute, je suis à la foi l'ange et le démon, je suis capable d'être doux et méchant quand il le faut. Se faire tatouer ce n'est rien, mais comme je suis un loup-garou, la guérison a opéré, alors j'ai du requérir à des moyens encore plus douloureux que je ne préfère même pas vous dire pour que vous ne rendiez pas votre petit déjeuner. Dernière nouvelle lors de mes dix-huit ans, mes parents ont déménagé à New-York, c'est mieux ainsi dans un sens. Ils n'en pouvaient plus de Phoenix et mon père a obtenu un travail là-bas, alors ils ont sauté sur l'occasion. Ils sont loin de moi et ma sœur, au moins le monde surnaturel ne les touchera plus, ils sont loin de tout cela et on ne pourra pas se servir d'eux contre moi comme moyen de pression. Il me reste également une énorme blessure, celle du traumatisme. Pendant mes débuts, j'ai refusé de transformer des gens en lycanthropes, j'avais peur, peur de faire les mêmes erreurs que mon ancien alpha. Mais un alpha sans meute n'a que peu de pouvoir, ma sœur me l'a prouvé à plusieurs reprises de maints et maints façons alors finalement au bout de trois mois, j'ai mordu pour la première fois, j'ai transformé un garçon qui souffrait d'une leucémie, il était en phase terminale et n'avait plus qu'une semaine à vivre, alors je l'ai fais muté pour qu'il devienne un bêta. C'est là que j'ai compris qu'elle avait raison, alors je commence petit à petit, à montrer au monde qui je suis, que ma me meute est bien là et qu'elle n'est pas faible, même si elle commence enfin à naître.

CHAPTER IV › La perte d'un être cher est toujours une déchirure infame, qui ne se refermera jamais, surtout quand cet individus était lié à vous depuis le début de votre vie. J'ai perdu ma jumelle, lors d'un affrontement entre créatures surnaturelles, je m'en veux, parce que j'avais juré de la protéger et je n'ai pas su le faire, et à cause de ça... Elle est morte. Mais je sais que ce n'était pas elle qu'ils voulaient, c'était moi. Elle est morte doublement par ma faute, parce qu'elle voulait me protéger de ces créatures infâmes qui m'en voulaient. Elle a été tuée par les revenants. L'ancienne épouse de l'alpha que j'ai tué, elle voulait se venger et ma jumelle s'est interposée. Je ne voulais pas cela, vivre sans sa moitié est atroce, il ne se passe pas un jour où je ne pense pas à elle, parce qu'elle m'a été arraché et je n'ai pas su lui dire à quel point je l'aimais parce qu'elle était déjà partie... Je m'en veux terriblement et c'est pour cela que j'ai décidé de laisser Phoenix derrière moi, je suis parti m'installer à Beacon Hills, le berceau du monde surnaturel ! Une chance, seulement ce que je ne savais pas à l'époque c'est qu'il y avait déjà une meute et les revenants m'ont suivi. Des choses vont bientôt se produire, je le sens et je le sais, mais je n'ai plus peur, ils verront que je ne suis plus faible comme avant.



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PSEUDO ◮ caius. ; PRENOM ◮ nicolas. ; AGE ◮ j't'en pose des questions ? ; COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ◮ c'est mon bébé. ; TU LE TROUVES COMMENT ◮ moche, c'est pour ça qu'on a décidé de le lancer. ; PRESENCE ◮  7 jours sur 7 ; UN PETIT MOTmot. ; CODE ◮ mouhaha.


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