C'est un jeune homme bien fait de sa personne, de magnifiques yeux bleus, une taille un peu plus grande que la moyenne, un corps musclé et des cheveux bruns souvent coiffés à la va vite lui donnant l'air de sortir de son lit. Ce qu'il doit probablement faire puisqu'il adore rester dans son lit pour glander, lire des magazines, faire ses devoirs ou tout simplement dormir.
Ellyan, c'est le genre de personne que tout le monde croit connaître, provocateur et qui se fout de tout, le mec sûr de lui, dragueur, qui a toutes les filles qu'il veut et qui les jettent, en parfait insensible, à la première occasion, premier à mettre le bordel ou à faire la fête, lançant des piques bien senties au premier qui ose l'énerve. Prêt à jouer de ses poings s'il le faut. Le mec majeur qui est encore au lycée parce qu'il a fait trop de conneries ou qu'il était trop défoncé. Le mec cool que tout le monde envie secrètement. Et que les gens pensent ça, ça le fait rire. Mais si tous ses gens savaient comme il se trompe sur son compte. S'il savait que ce mec qu'ils croient connaître n'est qu'un personnage créait dans le seul but de s'intégrer rapidement, pour disparaître tout aussi rapidement de leur vie sans vraiment causer de chagrin à personne. Bon pas complètement pour le côté fêtard et le coter provocateur qu'il utilise pour embêter les gens ou les faire rire. C'est une personne qui, quand il arrête de porter son masque devient gentil, drôle, affectueux et sensible. Il devient une personne sur qui on peut compter et vraiment protecteur avec les personnes auxquelles il tient, n'hésitant même pas une seconde à se battre ou se mettre en danger pour les aider, allant même quelques fois jusqu'à chercher les embrouilles aux gens qui les insultes. Il dit tout ce qu'il pense sans vraiment y faire attention. Il déteste toute forme d'autorité ou abus de pouvoir, il a obéi à son père toute sa vie alors il en a marre de recevoir des autres, il sait reconnaître quand quelque chose doit être fait et le fait tout simplement comme un grand garçon, mais si quelqu'un lui dit de le faire, il ne le fera pas juste par pur esprit de contradiction. Et quand il a décidé de ne pas faire quelque chose, il ne le fait pas et inversement, à moins d'une grosse force de dissuasion. Mais si c'est le cas attendez-vous à l'entendre râler parce que c'est une des choses qu'il fait le mieux à part faire l'abruti. Complètement barge dans les bon sens du terme, il est accro à l'adrénaline, toujours en mouvement à courir, chercher le danger ou les problèmes dès qu'il peut. Mais il est né sous une bonne étoile vue qu'il s'en est toujours sortie, bon, il aussi très débrouillard ça peut aider. Assez bon vivant il adore faire la fête, boire et se droguer même si il essaie d'arrêter en mémoire de sa sœur. Il a un caractère joueur et s'amuse à draguer les gens, sans forcément aller plus loin mais quand quelqu'un lui plaît vraiment, il ne sait plus vraiment quoi faire et perds la plupart de ses moyens alors il fait ce pour quoi il est bon amusée la galerie. Il a l'air immature, il ne l'est pas enfin pas vraiment, il trouve juste plus simple que les gens le croient comme ça, il n'attende rien de lui. Mais quand la situation l'exige on peut compter sur lui. Absolument bordélique au quotidien que dans sa tête, il ne sait plus où il en est et se pose continuellement des tas de questions. Normalement assez tactile il a besoin de quelqu'un pour l'aider à remonter quand toute ces questions l'obsède et l'empêche de dormir, c'est dans c'est moment-là qu'il est le plus vulnérable et ce qui est dangereux c'est que l'ennemi n'est pas quelqu'un d'autre qu'il pourrait tabasser pour qu'il se taise mais bien lui-même ou plutôt sa tête, ses pensées, son esprit.
Appart ça c'est une personne qu'on peut vraiment qualifier de morfale et part extension un très bon cuisinier, toujours à manger quelque chose dès qu'il le peut. Il a un faible pour les choses sucré et les plats italien qu'il a appris par sa mère. Il possède aussi une moto et un carnet familial seul héritage qu'il a pu garder de sa mère ainsi que les quelques centaines de dollars qui lui restent sur son compte. Pour ça il ne s'en fait pas trop il a vite trouvé un travail à la patinoire du coin et si cela ne suffit pas il en a trouvé un autre dans une boîte de nuit de la ville.

« Maman pourquoi papa tue tous ces gens ? » Je demande à ma mère, elle s'arrête de faire le repas et me regarde étonner que je puisse poser cette question mais elle me répondis "Tu le sais bien Elly, c'est gens sont des monstres qui tuent les autres personnes, le travail de papa et maman, c'est de les en empêcher et pour ça nous devons les tuer » Je plante mes yeux bleus dans les siens demandant encore une fois « Mais certains, n'ont rien fait, ce ne sont pas des méchants alors pourquoi, vous les tuaient s'ils ne font de mal à personne ? » Ma mère souffla en secouant la tête, « C'est parce qu'on ne peut pas prendre de risque, tu comprends ? » Non, je ne comprenais pas ce n'était pas bien de faire du mal aux autres, je l'avais appris à l'école et tuer, c'était faire du mal non ? Alors pourquoi papa et maman faisait du mal à des personnes qui n'avait rien fait. J'ai hoché la tête et elle a souri en se remettant au repas pensant surement que j'en avais fini avec cette histoire. Mais dés que papa est rentré, je lui ai posé la même question, résultat ? Je me suis pris la correction de ma vie et j'ai était privé de diner pour « réfléchir moi-même à ma stupide question » qu'il disait. J'avais 6 ans, j'étais un petit garçon en pleine santé, posant plein de questions et souriant, ma mère était aimante, redoutable et pratiquante. Mon père était plus rude, il m'obligeait à faire plein de choses comme le piano ou l'escrime, c'était sensé me servir plus tard, ça l'a fait d'ailleurs, jusqu'à un certain point, il était aussi très pieu encore plus que ma mère et pensais que tous les « monstres » étaient des erreurs inattendues, l'œuvre du malin et qu'il était de leur devoir de les protégés, je ne sais pas si Dieu existe, peut-être bien si les créatures surnaturelle des comtes et légendes l'étaient aussi, mais ce qui est sur, c'est qu'il ne faisait pas grand-chose pour nous alors pourquoi devrions nous priait pour lui ? Mais je me pliais au souhait de mon père essayant de le rendre fière du mieux que je pouvais, ça n'aura finalement servi à rien, mais bon. Bref, j'ai réfléchi, j'ai réfléchi à la question de mon père durant toute la soirée, mais je n'ai pas trouvé de réponse.
Il faisait froid, j'avais peur, je ne pouvais rien voir, j'étais âgée de 11 ans et j'avais était enlevé des gens m'ont attrapé à la sortie de l'école et m'ont emporté ici avec ma sœur. Je suis seul elle n'est pas avec moi, mais elle n'est pas loin, je dois aller la chercher, je dois me détacher d'ici et m'en aller avant que ceux qui nous ont amenés ici ne reviennent, mon sang battait dans mes oreilles, mon souffle se faisait erratique, je commençais à avoir une attaque de panique, non, je ne pouvais pas, mais c'était trop tard, mon souffle se faisait déjà rare, ma tête tournée et bientôt, je n'entendis plus rien. Je suis restais là pendant je ne sais combien de minutes essayant de luttait pour reprendre mon souffle, la tête en vrac, ne pouvant rien faire d'autre que subir cette crise, attendre qu'elle passe. Finalement, la crise est passais et je me suis laissé tombé en arrière sur la chaise, épuisé, elle tomba sous mon poids se brisant par terre en foulant un de mes poignets. J'étais si fatiguer après ma crise que je ne sais même plus comment je suis sorti. Mais ce don, je me rappel bien, c'était l'air de déception qu'afficher mon père en me voyant émergé de la maison, ma sœur attendait tristement à ses côtés. Ce n'est qu'après coups que j'ai compris que j'avais échoué à son test, je devais être le fils prodige, le nouveau chasseur de la famille et j'avais essayé, je jure que j'avais essayé. J'avais suivi mes parents partout ou il allait, apprenant la langue et m'intégrant assez rapidement à l'école, apprenant la langue. J'ai appris à jouer de l'orgue et accessoirement du piano, je jouais tous les dimanches à la messe, même si je préférais être au fond de mon lit. J'ai appris à combattre avec mes poings et à l'arme blanche et j'égalais presque ma mère avec un gun entre les mains. Mon seul défaut était que j'avais commençait à fumer et ce n'était surement pas du gout de ma mère, mon père semblait ne pas s'en soucier. Mais malgré ça, j'avais échoué, je l'avais déçu, je n'étais plus digne d'être son fils, je n'étais plus rien pour lui. Et ma sœur est devenue sont espoir.
« C'est ta faute tu aurais dut être là, tu aurais du mourir à sa place ! » Me criait mon père en cognant à la porte derrière, laquelle je m'étais réfugié avec ma sœur avant de la bloquer avec une commode. Je me recroqueviller pleurant dans les bras de ma frangine, ma mère était morte tuée par des loups où je ne sais quoi. Je n'étais pas là, je ne voulais plus chasser, c'est gens pour rien, surtout que je les avais malheureusement rencontrés dans une boîte, ou j'accompagnais la parfaite petite amie que mon père avait choisi pour moi, une fille riche d'une autre grande famille de chasseur, supposé être sage et vertueuse, mais qui m’entraînait dans des embrouilles monstrueuses pour ensuite m'accuser de la pervertir, en plus à l'époque, je commençais à me rebeller, à répondre dès qu'ont m'apostropher dans la rue ou chez moi par une réponse sarcastique, ce qui se finissait généralement dans une sordide ruelle. Je n'avais rien suspecté, il était plutôt sympa, faisait la fête comme les autres, buvait comme les autres, danser comme eux, il n'était pas différent de nous et surtout à l'opposer des bêtes assoiffé de sang que me décrivait mon père. Je n'ai compris qui il était qu'en fin de soirée, quand je ramené ma prétendue petite amie chez elle, complètement bourré comme d'habitude alors que moi, j'étais complètement sobre. Un des leurs à perdu le contrôle et c'est transformé, j'allais intervenir par réflexe, quand les autres m'ont devancé et l'ont immédiatement stoppé. Avant de quitter la boîte dans la minute pour le ramener chez eux, je les ai suivis, il habitait une maison banale, dans un quartier banale comme vous et moi. Il ne représenté pas une menace bon sang ! Il vivait comme nous et se débrouillait pour ne blesser personne. J'avais trouvé la réponse à ça question, nous n'avions pas le droit de tuer les gens juste parce qu'ils étaient quelques choses qui pourraient peut-être un jour nous menaçait. C'était pour cela que malgré tout l'aide qu'il était sensé apporté à la population « humaine » du monde, qu'il devait se cacher à chaque meurtre. Parce qu'il n'avait tous simplement pas le droit de décider, qui devait vivre ou mourir, ils n'avaient pas le droit de jouer à dieu. Notre seul droit était peut-être d'arrêter les quelques créatures assez stupides pour vouloir massacrer les humains et les asservir. Pour eux, je n'avais aucune pitié, mais les autres ne méritaient pas le sort que mon père leur réservait.
Mais ma famille ne l'entendait pas de cette façon et avait tous préparé pour les chassaient le jour d'après. Je suis allais les prévenir, j'ai failli y perdre un bras, mais j'ai réussi à les convaincre et ils sont partis, mais apparemment pas assez vite. Puisque ma famille les avait rattrapés, j'avais bien sur refusé d'aller avec eux et ma mère en avait payé le prix. Et moi, j'étais là, pleurant contre ma sœur dans le même état que moi et mon père qui gueulait de l'autre côté de la porte, me criant que c'était ma faute et d'autre chose horrible dans ce genre. C'est à ce moment que j'ai mal tourné, j'ai commencé par doublé mon quota de cigarette essayant vainement de me détendre, commencé à boire trop pour oublier, couchant avec n'importe qui, garçon ou fille qui me plaisait. Inquiétant les personnes avec lesquelles j'avais gardé contact et plus particulièrement ma sœur. Quand tous ça ne marcha plus, j'ai commencé, la drogue tout ce qui me soulageait un peu, je ne m'en faisais pas pour l'argent. C'était un des seuls avantages de venir d'ancienne famille, on avait de l'argent en plus des riches investisseurs assez croyants pour financer mon père, et ma mère m'avaient laissé tout son héritage. Je le dépensais donc allègrement dans tout, c'est nouveau passe temps, j'ai redoublé une année, inquiétante de plus en plus ma sœur qui continuait à tuer tout ce que notre paternel lui demandait.Lui,il n'approuvait pas mon comportement vous vous en doutez, ce bon vielle homme si catholique à cheval sur les étiquettes, son fils se droguais et était une putain de pédale, le fait que je n'ai pas de préférence entre les deux genre lui ayant complètement passait au dessus de la tête.Il a commencé à me frapper, puis j'ai riposté puis ma sœur était obligé de nous séparer nous évitant ainsi de nous tuer l'un l'autre. Voilà à quoi ressembler de plus en plus nos rencontre.

Fuir, courir, prendre le moyen de locomotion le plus direct, changer de ville, et même de pays, trouvais un boulot comme on pouvait, rester deux semaines, un mois au maximum et tout recommençait.
Voilà à quoi, c'est résumé l'année de mes 19 ans. Nous ne faisions que fuir moi et ma sœur, nous n'avions que ça à faire, nous ne pouvions rien faire d'autre. Notre père était à nos trousses, il voulait me tuer et ça, ma sœur ne le laisserait pas arriver alors nous étions partis.On a tenu presque un an ce qui est un record encore jamais égalé.Tous ça à cause de moi encore une fois. Mais cette fois j'avais tapé forts, j'avais était mordu et ouais j'avais eu le gros lot, je pense même que j'aurais put être couronné roi des emmerdes tellement j'avais envoyé du lourd cette fois. Mais ça, c'était passé si vite que je n'avais même pas pu comprendre ce qui arrivé. Bon j'avoue que j'étais un peu stone aussi. Mais j'en avais marre de la voir tué des gens, donc quand je l'ai vu attaqué ce loup-garou, je n'ai pas réfléchi et je l'ai empêché de le tuer sauf que dans le feu de l'action, je me suis fait mordre. Sur le coup personne n'a bougé sauf le loup qui s'est enfui, elle m'a regardé et j'ai fait de même pendant quelques secondes, peut-être minutes. Puis la douleur m'a ramené à l'ordre et j'ai baissé les yeux sur la morsure toujours béante, je ne m'en faisais pas tant que ça dans quelques heures la plaie se refermerait et je serais presque comme neuf, même si je ne pensais pas passer la nuit. J'ai levé ma tête vers ma sœur, elle me visait avec son gun, les larmes aux yeux. Je savais qu'elle n'avait pas le choix, c'était son boulot. Je lui ai souri et dis au revoir, mais elle n'a pas pu. Donc on est rentré à la maison et on a fait nos valises pour fuir notre père qui lui n'hésiterais pas une seconde à me plombais. Et voilà comment on se retrouve sur l'autre continent, dans une ville complètement paumé pour lui échapper. Ça n'a servi à rien, il nous a retrouvés et a commencé par tuer ma sœur qui a essayé de le résonnais pour finalement me viser moi avant de se faire tuer lui-même par ma sœur, il aurait mieux fait de vérifier si elle était bien morte. Je l'ai vu tomber nous regardant avec tant de haines et j'ai juste trouvé la force de lui levait mon majeur en signe d'adieu. J'ai pris la main de ma sœur et j'ai fermé les yeux, étonnement j'étais calme, sans vraiment de regret à part peut-être que j'aurais dû sauver ma sœur l'emmener loin de toute cette merde de chasse avant qu'elle puisse y prendre part et mieux profiter de la vie et avoir mon bac, parce que mourir à 20 ans sans avoir le bac ça crains.
Finalement, je ne suis pas mort, apparemment vu que je suis dans un lit d'hôpital avec plein de machines relié à mon corps. Avec plein d'agitation autour de moi parce que j'étais réveillé. Et ben apparemment, il a raté son coup. Je me lève d'un coup pour demander ou étais ma sœur. Peut-être que si j'avais survécu ? Elle s'en était peut-être sorti aussi ? Mais un médecin vient m'annoncer que j'étais le seul à avoir était trouvé.